Peindre le portrait d'une montagne exige à mon sens le même respect que pour un humain. On doit pouvoir la reconnaître, non seulement dans sa silhouette mais aussi dans son caractère. Pouvoir retrouver ce que l'on a ressenti lorsqu'on l'a eu en face de soi.
La vue est prise de l'aiguille du midi, en août 2014.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire