Samedi dernier, la nature s'habillait en vert printemps. Au bord de l'Oise, face à Auvers, la végétation en prenait tout à son aise, laissant peu de trouées exploitables pour s'installer avec un confort minimal, et peindre.
Le soleil chauffait juste ce qu'il fallait.
De temps à autre une péniche passait. Longtemps après chaque passage la rivière en gardait encore quelques rides. Impossible de lui faire tenir la pose !
Qu'il est bon de pouvoir de nouveau croquer le paysage et s'imprégner de sa lumière et de son apparente quiétude.
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