C'est un essai, une technique que je découvre. Très éloignée de celles de l'aquarelle, elles ont au moins un point commun : le résultat est une surprise car la matière joue sa propre partition. A l'aquarelle, c'est le mouvement et le séchage de l'eau qui, entraînant les pigments, va créer ses effets. Pour la terre émaillée, les émaux vont entrer en fusion sous l'effet de la température, ils vont couler, se mélanger, des effets chimiques vont se produire.
Le sujet : un homme encore bedonnant, torse nu, est assis. Son chapeau cache son visage, il détourne le regard. Une sébille est posée à ses pieds. Il fait la manche : il y a quelques années, il avait encore un "vrai" travail.
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