Restons simple


La "coulée verte" qui traverse la plaine du Plessis-Bouchard est d'une effroyable monotonie. C'est un ruban rectiligne, froid, posé sur un gazon uniforme. On y a planté des rangées bien alignées d'une seule espèce de poiriers, qui n'ont évidemment pas tardé à être malades. On remplace les mourants par une espèce unique de chêne, je crois, ce qui double la variété arboricole mais ne suffit pas à assurer la diversité qui permettrait la résistance aux parasites ... et un minimum de beauté.Peut-être les architectes qui ont conçu ce site auraient-ils du penser à planter des arbres en béton ? Au point où on en est ...

Je trouve difficile de peindre un tel sujet, somme toute dénué de tout point d'intérêt. 
Pour moi c'est compliqué de faire simple !

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